Test : Voopoo Drag S, notre avis !

Devenu un grand spécialiste des mélanges de genres, Voopoo remet le couvert Pod/mod avec son nouveau Drag S censé succéder aux excellents Vinci et Navi.

Mêlant compacité, technicité et ergonomie, la nouvelle bête est dotée d’une box futuriste recelant plusieurs modes de sortie (techniques et ludiques !) accompagnés d’une batterie très autonome (pour un pod) de 2500 mAh.

En outre, il priorise le côté pratique avec un système de cartouche solidaire facile à remplacer pour confirmer son adhésion à la catégorie des pods. Ceci étant, cartouche ne rime pas toujours avec petite capacité, car le Drag S propose pas moins de 4,5 mL de liquide en plus de permettre un changement de résistance pour varier MTL et DL en toute simplicité !

Vous l’aurez compris, Voopoo a encore fait du très bon travail pour couvrir les besoins primordiaux des vapoteurs modernes, à savoir la performance et l’ergonomie. Parfait pour les débutants comme les pros, le Drag S semble remplir toutes les conditions pour devenir un incontournable du genre Pod/Mod avec un prix très compétitif de moins de 60 euros. Voyons ce qu’il vaut sur le banc d’essai !

PRESENTATION GENERALE

La révolution du Pod est en marche depuis l’intégration des modes de sortie dans des box minimalistes par les constructeurs.

Chez Voopoo, ce concept constitue même l’avenir des cigarettes électroniques, où la performance ne constitue plus une notion solidaire avec des appareils encombrants et techniques. Avec la série Vinci et Navi, l’enseigne a notamment trouvé la bonne entente entre ergonomie, divertissement et expérience via un très bon mélange puissance, autonomie et facilité d’utilisation.
Aujourd’hui, le Drag S renforce cette vision et nous propose le meilleur de la technologie Pod/mod.

© Angélique Porte

Pod ? Parce qu’avec sa petite dimension de 115 mm de hauteur pour 33 mm de largeur, il s’incruste dans toutes les poches et qu’il dispose d’un système de cartouche facile à installer et à ôter en un seul mouvement.

Mod ? Parce qu’il est pouvu d’un réglage de modes de sortie de puissance (Smart) , de détection automatique de la résistance (RBA), d’un mode de jeu qui compte la durée des puffs et bien évidemment d’une pléthore de protections pour mettre en confiance les débutants de la vape.

Bien parti pour devenir le nouveau joujou des geeks de la vape grâce à son chipset GENE TT, le Drag S sait se comporter en chaton docile pour les divertissements comme un fauve en montant la puissance dans les tours.

En effet, sa puissance limite culmine à 60W tandis que ses résistances tournent autour des 0,1 à 0,2 ohm… des machines à vapeurs destinées aux cloudchasing !

Pour couronner le tout, la bête est munie d’une batterie de 2500mAh, d’une capacité de liquide de 4,5 mL et d’un réglage d’airflow ultra-efficace… bref, l’essentiel pour garantir une expérience complète à n’importe quel amateur de nuage moderne.

DESIGN ET CONSTRUCTION

Très élégant, le Drag S doit sa beauté à sa finition cuir et alliage de zinc. Au premier contact, on ressent toute la finesse du Pod/mod traduite par une box légère, petite et habillée par une couverture en cuir signée Drag avec des surpiqures.

Pour la forme, la box arbore une géométrie rectangulaire avec des bords arrondis facilitant la prise en main. La façade avant abrite l’écran de réglage TFT de 0,96 pouce multicolore suivi des boutons physiques Switch, +/- et enfin un port USB-C pour un chargement rapide.

Plus haut, nous retrouvons la structure destinée à recevoir le pod (une fois assemblé avec la cartouche, le matériel ressemble de très près à un clearomiseur via le réglage d’airflow).

Notons que cette cartouche est solidaire avec le drip-tip et la résistance.

CARACTERISTIQUES TECHNIQUES

Riche en fonctionnalités, le Drag S a tout pour subvenir aux besoins des débutants et des vapoteurs avancés.

Grâce à sa nouvelle puce de gestion GENE TT, l’appareil est capable de varier la puissance manuellement ou de régler la valeur du wattage suivant la résistance. Pour ce faire, il propose le mode Smart P&A, Smart Press ou RBA.

En outre, la gestion de la puissance est soumise à un contrôle de chauffe automatique de sorte que le chipset bloque le wattage à un maxima prédéfini. Une fois que vous avez installé le pod, le GENE TT détectera le type de montage, la valeur de résistance et appliquera la meilleure puissance d’utilisation, qui est limitée entre 5 et 60W.

© Angélique Porte

Autres faits intéressants ! Le Drag S est accompagné d’un mode de jeu baptisé « Score ». Bien qu’il n’impacte pas le mode de chauffe de l’appareil, il propose à l’utilisateur de consulter le nombre et la durée de puffs que le chipset transforme en points ! Dans cette perspective, le vapoteur aura l’impression de jouer à un jeu à la manière d’un punching-ball… histoire de battre des records d’inhalation.

Pour le reste, l’interface comme les boutons de réglage sont faciles à manipuler. Pour démarrer l’appareil, il suffira d’appuyer 5 fois sur le Switch. Pour naviguer entre les menus, utilisez les touches + et -.

Au niveau de la cartouche, on retrouve la même ergonomie avec un système de remplissage et de changement de résistance très facile. Pour désassembler le pod et la box, il suffit de tirer d’un coup sec la partie supérieure fixée magnétiquement. Le trou de remplissage de la cartouche de 4,5mL est situé sur le bas, aussi il faudra renverser la pièce et tirer sur la languette noire en silicone pour procéder à l’opération.

En ce qui concerne les résistances, Voopoo propose :

Nb : Toutes les séries de PnP sont compatibles avec la cartouche.

PERFORMANCES

Suivant la conception classique des pods, on ne s’attend pas à ce que le Drag S fasse des miracles niveau rendu. Ceci étant, le traitement de saveurs via le mode semi-automatique Smart offre de très bons résultats.

En alternant les coils VM1 et VM5, les goûts et les sensations sont plus que satisfaisants et concurrencent sensiblement des mods standards (comme les Pico 75W) sans problème.

De plus, le réglage d’airflow s’avère très efficace pour alterner les MTL et DL en un seul mouvement, ce qui ne manquera pas de plaire aux amateurs de gros nuages.

Enfin, l’autonomie est respectable par rapport à sa dimension. Avec ses 2500mAh, le Drag S survivra facilement à une journée de vape effrénée tandis que sa grosse capacité de liquide limitera les remplissages intempestifs.

Comme attendu, le Drag S constitue l’un des meilleurs Pods/mods de sa génération. Petit, pratique et riche en fonctionnalités, l’appareil s’adaptera à tous les besoins de l’utilisateur sans difficulté.

Caractéristiques techniques

  • Marque : Voopoo
  • Produit : Pod/mod
  • Série : Drag S
  • Batterie : 2500 mAh
  • Dimensions : Hauteur 87 / Longueur 33 mm / Largeur 28
  • Plage de puissance : 5 à 60 watts
  • Chipset : Gene TT
  • Modes : Puissance variable (Watts)
  • Ecran : TFT couleur 0.96 pouce
  • Résistance : PnP-VM1 de 0.3 ohm et PnP-VM5 de 0.2 ohm
  • Réservoir : 4,5 ml
  • Airflow : Double et réglable
  • Rechargement : Par micro USB-C

Contenu de la boite

  • 1 x Drag S
  • 1 x Pod 4,5 ml
  • 1 x Résistance PnP VM1
  • 1x Résistance PnP VM5
  • 1 x Câble de recharge USB C
  • 1 x Manuel de l’utilisateur
  1. Bonjour Florent,

    sur la Drag S, la batterie est intégrée.
    Quel problème rencontrez-vous ?

    L’équipe du Mag AlterSmoke

  2. Bonjour Alexandre,

    les résistances compatibles avec les podmods Drag S / Drag X / Vinci / Vinci X / Vinci Air et Argus font partie des résistances les plus répandues en boutique.

    Bonne journée.

  3. Bonjour, je suis ravi de ma Drag S que j’utilise depuis 8 mois. Cependant, ces derniers jours, mon pod se coupe tout seul rapidement entre deux inhalations. Ce n’est pas systématique mais très fréquent. Ceci même quand la batterie est complément chargée. Je suis obligé de le rallumer pratiquement à chaque fois. Aurais-je activer involontairement une option de sécurité ou est ce un autre problème ? D’avance merci.

  4. Bonjour je voulais savoir normalement on peut aspirer de nous même mais cela ne fonctionne plus, je suis obligé d’appuyer sur le bouton pour vapoter. Le problème pourrait venir de quoi ?

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